Page:Tiercelin - Primevère, 1881.djvu/8

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parce que j’aime ces enfants poétiques qui s’appellent Miette et Silvère, Camille, Lalie, Maxime, Jeanne, Cadine et Marjolin.

Je vous prie aussi d’accepter cette dédicace comme un hommage de sympathie — modeste, mais très sincère — à votre courage et à votre talent.


Respectueusement,
Louis TIERCELIN.