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Page:Timothée Dehay - Les colonies et la métropole - le sucre exotique et le sucre indigène.djvu/359

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Chapitre XVIII. Comment peut-on sauver les colonies.
Liens de commerce qui assujettissent les colonies à la métropole. — Quel serait le résultat de l’altération de ces liens ? — Doit-on rendre aux colonies la liberté de commerce ? — Y aurait-il avantage pour les colonies à obtenir cette liberté ? — Est-il de la justice de la France de ne pas la refuser ? — Y aurait-il avantage pour la France à l’accorder ? — Examen de ces questions. — Prises de la Guadeloupe. — Prises de la Martinique. — Prises de Bourbon. — Prises de la Guiane. — Dépenses occasionnées à la France par les colonies. — Conclusions affirmatives de toutes ces questions. — Objections prévues. — L’émancipation du commerce colonial est un moyen de sauver les colonies. — Est-il temps de la prononcer ? — Moyens provisoires de salut. — Réflexions 
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Chapitre XIX. Aux Délégués des colonies.
Conseils aux colons. — Procédés de fabrication. — Procédés de culture. — Les colonies n’ont-elles pas elles-mêmes préparé leur ruine ? — La canne à sucre substituée à toutes les anciennes plantations. — Les grands et les petits habitans. — Les colonies en 1790. — Que les colonies envisagent courageusement l’avenir. — Encore l’émancipation des esclaves. — Traités de 1815 et de 1818. — Avertissemens nombreux donnés par la législation. — Qu’ont fait les colonies pour se préparer à l’émancipation ? — L’affranchissement et les conseils coloniaux. — Effet produit par la proposition de M. Passy. — Avantage de l’émancipation graduelle. — Le cri de la conscience publique. — Sophismes des partisans de l’esclavage. — Réflexions 
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