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semblent aujourd’hui très discutables, mais qui touchera néanmoins quelques âmes tendres et scrupuleuses. Je les prie d’accueillir avec indulgence cette histoire de deux amants inférieurs à leur idéal, supérieurs à leur destinée, faibles devant la douleur d’autrui, et contraints au stérile sacrifice de leur grand et bel amour, parce qu’ils ont préféré le « bon mensonge » à la vérité libératrice.
MARCELLE TINAYRE.
Novembre 1907.