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Page:Tisenhauz - Halina Oginska - vol1.djvu/300

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c’est bon signe : elle a entendu parler de quelque chose.

Et serrant la main du palatin :

— Soyez bien persuadé que, dans toutes les circonstances de ma vie, je vous regarderai comme mon ami, mon guide.

Voyant que le palatin se préparait à lui adresser de nouvelles représentations, il lui sauta au cou, l’embrassa sur les deux joues, lui chiffonna la tête et disparut comme l’éclair.

— Je me flatte, dit l’ambassadeur en le voyant sortir ; je me flatte qu’il ne changera point la détermination de la jeune comtesse, ou je me serais bien trompé sur le caractère d’Halina.