Page:Tolstoï - Œuvres complètes, vol12.djvu/151

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soldat et s’exprimait par un cri joyeux, prolongé.

Quand, après cela, un des généraux s’adressa à lui pour lui demander s’il ne voulait pas monter en voiture, Koutouzov, évidemment sous le coup d’une émotion qu’on ne pouvait attendre, en répondant se mit à sangloter.