Page:Tolstoï - Œuvres complètes, vol15.djvu/108

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

pondit Kitty en rougissant et regardant en face le visage de sa mère. — Mais je n’ai rien à dire maintenant… moi… Si même je le voulais… je ne saurais… je ne sais…

« Non, elle ne peut mentir avec de tels yeux », pensa la mère souriant de son émotion et de son bonheur. C’était justement ce qui se passait maintenant dans l’âme de Kitty, cet événement si important et si considérable pour la pauvrette, qui causait le sourire de la princesse.