« En avant l’izba, en avant le four ! Pour la patronne plus de toit ! Vive la joie ! » (Les vieillards enlacés deux par deux s’éloignent en zigzaguant. Le paysan se dirige vers son izba, mais il trébuche, tombe, et pousse un grognement rappelant celui d’un pourceau. L’aïeul et les paysans se lèvent et se dispersent.)
Scène III
Tu as bien vu ? Maintenant c’est le sang de cochon qui se manifeste. De bêtes fauves ils se sont transformés en pourceaux. (Il désigne le paysan.) Regarde cet immonde cochon qui se vautre dans la boue avec des grognements.
Allons, tu auras ta part à la distribution. Oui, d’abord des renards, puis des loups puis des cochons, ils ont bien été tout cela. Elle est admirable, ta boisson ! Apprends-moi comment tu l’as préparée. Tu as dû y faire entrer du sang de renard, de loup et de cochon ?
Pas du tout. J’ai simplement assuré à cet homme des récoltes qui excédaient ses besoins. Du temps