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moujik comme parrain. Il va, le pauvre moujik, chez un autre, et l’autre refuse aussi.
Il a fait le tour du village, mais personne ne veut accepter d’être parrain. Le moujik va dans un autre village ; il rencontre sur la route un passant.
Le passant s’arrêta.
— Bonjour, dit le moujik, où Dieu te porte-t-il ?… Dieu, reprend le moujik, m’a donné un enfant, pour le soigner dans son enfance : lui consolera ma vieillesse et priera pour mon âme après ma mort. À cause de ma pauvreté, personne de notre village n’a voulu accepter d’être parrain. Je vais chercher un parrain.
Et le passant dit :
— Prends-moi pour parrain.
Le moujik se réjouit, remercia le passant et dit :
— Qui faut-il maintenant prendre pour marraine ?…