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année est justement des plus chargées pour moi. J’ai commencé à construire cette isba. Je comptais y mettre une centaine de roubles, et voilà déjà que la troisième centaine est entamée. Et je n’ai pas fini ! — Remettons la chose à l’été ; vers l’été, si Dieu le permet, nous partirons sans faute.
— À mon avis, répondit Élysée, il ne convient pas de tarder davantage : il faut y aller maintenant. C’est le bon moment : voici le printemps.
— C’est le moment, oui, c’est le moment. Mais une entreprise commencée, comment l’abandonner ?
— N’as-tu donc personne ? Ton fils te suppléera.
— Mais comment fera-t-il ? Je n’ai pas trop de confiance en mon aîné : je suis sûr qu’il gâtera tout.
— Nous mourrons, compère, et ils devront