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Page:Tolstoï - Au Caucase.djvu/116

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III

Avec Vélentchouk, cinq autres soldats de mon peloton se chauffaient autour du feu.

Au meilleur endroit, à l’abri du vent, était assis le maréchal-des-logis Maximov, fumant sa pipe. L’attitude, les regards, tous les gestes de cet homme révélaient l’habitude du commandement et la conscience de sa propre dignité.

Comme je m’approchais de lui, il tourna sa tête vers moi ; mais ses regards restaient fixés sur le feu, et ce ne fut que bien plus