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Page:Tolstoï - Au Caucase.djvu/168

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AU CAUCASE

— C’est bien, c’est bien, fis-je. Guéris, frère !

Il ne me répondit pas ; la charrette s’ébranla. Il se remit à geindre et à se plaindre d’une voix qui fendait l’âme. Comme un homme affranchi des soucis de ce monde, il ne trouvait plus nécessaire de se retenir et se soulageait ainsi.