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Le vieux lui répondit :
— C’est au-dessus de mes forces, il est trop gros ; si je lui enfonce mes pattes dans le dos, il peut m’entraîner dans le taillis.
Et le jeune hibou reprit :
— Eh bien, moi, je le saisirai d’une patte, et de l’autre je me retiendrai à un arbre.
Et le jeune hibou courut au lièvre, enfonça sa patte dans le dos de l’animal, à tel point que toutes ses griffes pénétrèrent les chairs ; de l’autre patte, comme il l’avait dit, il se retint à un arbre.
Le lièvre chercha à se dégager, tandis que le hibou murmurait en se cramponnant : — Tu ne m’entraîneras pas. — Mais le lièvre donna une telle secousse qu’il déchira le hibou en deux.