Page:Tolstoï - Contes et fables, 1888.djvu/247

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le chemin libre ; mais comme le cavalier s’éloignait, il lui demanda ce qu’il lui aurait fait s’il n’avait pas voulu céder.

— Dis-moi, lui dit-il, que fis-tu à cet entêté qui te résistait ?

— L’autre était très-entêté, plus entêté encore que toi ; voyant que je ne pouvais rien obtenir de lui, je me décidai à… à le laisser passer.