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Le moujik consacra tout son bien à cette entreprise, et tout fut perdu sans succès.
Alors le marchand lui dit :
— Livre-moi le moulin, et surtout qu’il marche sans eau et sans chevaux, sinon rends-moi mon argent.
Le moujik alla de nouveau trouver le barine et lui fit part de son embarras.
Le barine lui donna de l’argent et lui dit :
— Maintenant, reste à travailler chez moi, construis-moi de simples moulins, — pour cela tu t’y connais, — mais à l’avenir, ne t’engage pas à faire des choses aux-quelles des gens plus intelligents que toi ont dû renoncer.