Page:Tolstoï - Correspondance inédite.djvu/116

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406 CORRESPONDANCE INÉDITE dame quelconque, M‘"° A..., avec son ambition et sa fausse compassion pour quelque chose de vague, et c`est un rouage complètement inu- tile dans toute cette machine! Plaignez—moi pour deux choses : cette ca- naille de cocher a emmené les étalons à Sa- mara; ai quinze verstes avant d’arriver, il a fait noyer Gounib dans une mare qu’il a voulu traverser pour abréger la route. Deuxième- ment, parce que je dois écrire et ne le puis pas.

  • Je me méprise pour ma paresse, et ne me per-

mets pas de m’atteler a une autre besogne quelconque. Nos saluts à Marie Pétrovna et à Olenka. Vôtre, · L. 'l`oLs·roï. 7 décembre 1876. Votre lettre, avec le poème, m’est arrivée par le même courrier qui m’appor'tait le recueil dc vos œuvres que j’ai fait venir de Moscou. Ce poème, ron seulement est digne de vous, ' mais il est particulièrement beau, avec ce· ca--