Page:Tolstoï - Correspondance inédite.djvu/137

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LETTRES A FET 127 Je vous félicite pour votre jour de nais- sance; je n’oublierai pas également de vous _féliciter le 23, et je désire pouvoir le faire une douzaine de fois. Il n’en faut pas plus ni pour moi ni pour vous. Au revoir. Vôtre, L. Torsroî. 1" février 1879. Cher Afanassi Afanassiévitch, ll y a deja une semaine quej’ai reçu votre lettre, particulièrement bonne, accompagnée d’un très bon mais pas excellent poeme. Je ne vous ai pas répondu aussitôt, parce que, le croiriez-vous, depuis, je ne suis pas encore remis de mon malaise ; au_iourd’hui seulement je commence ài aller mieux: ma tete est fraîche, mais je ne sors pas encore. Le vrai, des! ce qui est vrai. C’est la plus grande vé- rité. Mais le vrai, de même que cette vérité, on ne peut le pteuver, il faut le guetter, y ar-