Page:Tolstoï - Correspondance inédite.djvu/143

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LETTRES A FET 133 la colère, la misanthropie, la conscience qu’on n'aime personne et que personne ne vous aime, et il commence à parler, a discuter, à se fâcher, à souffrir. Il faut laisser cela. C’est beaucoup mieux. Au revoir. Nos saluts à Marie Pétrovna. Vôtre, L. Toisroî. 25 mai 1879. i Cher Atanassi Afanassiévitch, Je vous remercie de ne pas m’oublier. Je vous en prie, ne m'en veuillez pas si j’a_journe encore mon voyage chez vous. Je ne saurais dire ce qui, jusqu’à présent, m'en a empêché, car il n’y a rien `de sérieux, mais toujours ide petites choses; Au_jourd’hui, les précepteurs sont partis; demain, il faut aller a Toula, et causer au lycée à propos des examens, ensuite c’est une petite indisposition, etc. Mais la cause princi- pale c'est cependant les examens des enfants : on ne fait rien, il est vrai, mais on a le désir de l2