Page:Tolstoï - Correspondance inédite.djvu/169

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LETTRES A TÉNÉRGMG) 159 ments de travail. (Dans le cas présent, la per- feclionde ces i=mstrun1euts, cest la tendresse, la prudence, la douceur.) Tout cela dépend de nous. Réu/ssirez—vous ou non à toucher les cœurs, c'est à la volonté de Dieu. Mais ne privcz pas votre raison douce, résignéc, de ce qui peut lui aider. Si cette force sc manifeste complètement, nul ne lui peut résister. Moi je vis bien et joyeuseœneut. J’ai travaillé tout ce temps mon drame‘, il n’est pas encore p·aru. ll est à la censure. `Maintenant _j`écris u11 traité general sur la mort et la vie, qui mc semble néces- saire. Je vous ai lu quelques passages dc ce travail. Tchevtkov est retenu ai la campagne par l'in— i disposition de sa femme. Son etat d’âme est excellent. En général, je n’ai pas encore vu d'hommes qui, étant sur la voie du Christ, n’y marchaient pas. I Vous me questionnez sur Le malheu- 1. La pu·is.sm2cc des ténèbres.