Page:Tolstoï - Correspondance inédite.djvu/95

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LEXTRES A FET 85 à supporter. Mais le cœur, surtout le cœur d’uno mère, — cette admirable manifestation supérieure de la divinité sur terre, —— ne rai- sonne pas, et ma femme est complètement atterrée. Je vous remercie de ne tpas m’oublier par vos lettres. Ce serait bien de ne pas nous oublier aussi en allant à, Moscou. Je me suis réjoui du succès de vos travaux avec Olenka; je m'y attendais. Pour moi, l’une de mes occupations les meilleures et les plus agréables, ce sont les leçons de mathématiques et de grec a n1es enfants. Notre cordial salut à Marie Pétrovna. Vôtre, J L. Torsroï. 15 janvier 1874. Cher Afanassi Afanassievitch, J’ai été fort étonné en recevant votre lettre, bien que j°aie depuis longtemps entendu parler, par Borissov, de cette affaire embrouilléc, ct je 8