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88 CORRESPONDANCE INÉDITE chose de beau. Comme pensee poétique, il m'est tout à fait clair; mais comme œuvre de la parole, il m’est tout à fait vague. J’ai reçu de Tourgueniev la traduction, pu- bliée dans le temps, des Deux lmssards, et une lettre écrite à la troisieme personne, qui me demande de faire savoir si je l`ai reçue, el; m’informe que M"‘° Viardot et Tourgueniev traduisent d’au‘tres de mes nouvelles, ce qui pour moi est parfaitement inutile. Je remercie beaucoup Pierre Afanassievitch pour la généalogie des chevaux. Je crains seule- ment que le jeune trotteur ne soit trop lourd : le vieux me plairait mieux. 'Nous serions très heureux, ma femme et _ moi, si vous et Marie Pétrovna veniez nous voir, ne fût-ce que pour un jour. C Vôtre, U L. 'l`o1,s·ro1.