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non que les chefs me forcent de tuer ? » devient de plus en plus fort, rien ne peut le détruire, et il se répand de plus en plus.
Ce doute : Plaît-il à Dieu ou non que les chefs nous forcent de tuer ? c’est l’étincelle de ce feu que Christ a allumé sur la terre et qui commence à l’embraser. Le savoir, le sentir, c’est une grande joie.
Iasnaïa Poliana. 18/31 mai 1901.