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sire, il vaut toujours mieux pour lui que je meure et qu’il restât seul maître de mon bien. »
Et Trophime, se remémorant les regards et les paroles de son fils, comprit que celui-ci désirait sa mort et ne pouvait que la désirer.
« Donc si lui, homme instruit et sans préjugés, désire ma mort, il doit me tuer. Certes, il peut redouter la police, mais il y a des poisons si commodes… »
Et il se rappelle une conversation de son fils sur d’anciens poisons, qui tuent sans laisser de trace.
« Il n’a qu’à se procurer un de ces poisons et il ne pourra pas résister à la tentation de me le servir.
« Ne disait-il pas, que je ne m’occupe pas assez des affaires, que je n’augmente pas assez notre fortune… Et oui,