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seulement que je vis ; il me semble que rien n’est bien que parce que tu es là, que parce qu’il te faut…
— Oui, je le sais, je suis une gentille enfant qu’il faut tranquilliser, dis-je d’un tel ton qu’il me regarda tout surpris. Je ne veux pas de cette tranquillité ; c’en est assez d’elle !
— Allons, vois un peu ce dont il s’agissait, commença-t-il précipitamment en m’interrompant, comme s’il eût craint de me donner le temps de tout dire : et voyons ce que tu en penses ?
— À présent je ne le veux pas, répondis-je.
Quoique j’eusse bien envie de l’entendre, il m’était plus agréable, dans cet instant, de troubler sa tranquillité.
— Je ne veux pas jouer avec les choses de