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Page:Tolstoï - L’École de Yasnaïa Poliana, 1888.djvu/42

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et qu’on est déjà resté assis près de trois heures, on sent, ici encore, le besoin de traîner les bancs et les tables et de mener grand bruit ; néanmoins, dès que le maître est prêt, les élèves sont prêts, et gare à qui veut empêcher la classe de commencer : ils se chargent eux-mêmes de lui imposer silence.