cience de la vérité qui naît dans l’âme de tout homme qui en sait la force, car, de cet homme, cette conscience se transmet à un second, puis à un troisième, comme une bougie sert à en allumer d’autres, à l’infini. Il suffira de se chauffer à cette lumière et, de même que la cire fond devant la flamme, on verra fondre devant elle toute cette organisation qu’on avait cru si forte.
Si les hommes comprenaient seulement l’effrayante puissance qui leur a été donnée dans le mot qui exprime la vérité, et s’ils ne vendaient pas leur droit d’aînesse pour un plat de lentilles ! Si les hommes se servaient de cette force qui est à eux, alors les puissants n’oseraient plus menacer le peuple de cette tuerie générale où ils peuvent, à leur gré, les conduire ou ne pas les con-