Page:Tolstoï - L’Esprit chrétien et le patriotisme.djvu/37

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

autorités elles-mêmes, et des discours vides qui furent prononcés, sans parler de tout cela, les actions les plus stupides et les plus cruelles furent faites sans que nul y prêtât attention.

C’est ainsi que plusieurs dizaines de personnes furent écrasées, et que personne n’a cru utile de rappeler ce fait. Un journaliste a écrit qu’un Français lui dit, dans un bal, qu’on trouverait difficilement à Paris, une femme qui ne fût pas prête à oublier ses devoirs pour satisfaire les désirs d’un marin russe : et tout cela passa


    rons qu’elle saura juger comme il convient les événements actuels. Nous espérons que notre brûlante protestation trouvera un écho dans les cœurs de la jeunesse française. »

    « Le conseil de « l’Union des 24 groupes de pays »,
    à l’université de Moscou. »