Aller au contenu

Page:Tolstoï - L’Esprit chrétien et le patriotisme.djvu/40

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

me sentis tout à coup gagné par une sorte d’attendrissement ; même, je sentis que j’étais prêt à pleurer, et je dus faire un effort pour résister à cette émotion.