Ah ! ma chore petite comm?re... Et mon coeur, qu’en ferais-je? Le d?funt ?tait d?j/? assez ?v?re, et Pour?nt j’agissais ? ma fan?isie: impossible au- jourd’hui, ma petite comm?re. Pas la moindre ?ner- gie ?ntm lui. Je suis devant lui comme une poule mouillée.
Ho? hol ma comm? Bien s?r on t’a jet? un ?rt. Ma?na, ditch, s’adonne ? ces chos?l?; c’est ?s doute elle.
C’est aussi ce que je pense, ma commère... Il y a pourtant des moments où je voudrais le mettre en pièces; et puis, quand je le vois, non, mon coeur ne peut pas se lever contre lui.
C’est pour sur un ensorcellement... Qu’il faut peu de temps, ma petite mère, pour dépérir ! Je te regarde : qu’est-ce que tu es devenue !
Je suis comme pétrifiée... Et Akoulina, la sotte, regarde-la donc. Comme elle était pauvrement mise !... Et vois-la, maintenant! D’où a-t-elle pris tout cela ?.. Comme il l’a bien habillée ! Elle se