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Page:Tolstoï - La Sonate à Kreutzer trad Halpérine.djvu/114

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c’est que cette liberté momentanée réveilla chez ma femme, en lui donnant une force nouvelle, la coquetterie féminine un peu endormie pendant la période qui avait précédé. Alors naquit en moi une jalousie telle que jamais auparavant je n’en avais soupçonné l’existence. Dieu ! que de souffrances ! D’ailleurs ce sentiment est général à tous les maris qui vivent comme je vivais avec ma femme, sans rechercher l’adultère.