commence à se répandre l’emploi des moyens qui privent la femme de produire les enfants, ou bien c’est devenu une coutume (ce qui ne se voyait pas auparavant et ce qui ne se voit pas encore dans les familles patriarcales de paysans) de continuer des relations pendant la grossesse et l’allaitement.
Et ceci est très mauvais : c’est mauvais parce que ça détruit les forces physiques et surtout les forces morales de la femme, et il ne faut pas le faire, et pour ne pas le faire, il faut comprendre que l’abstinence, qui est la condition nécessaire de la dignité humaine dans le célibat, est encore plus obligatoire dans le mariage, et que la raison est donnée à l’homme non pas pour s’abaisser au-dessous du niveau de l’animal, mais pour se mettre au-dessus de lui. Quant à la destruction du fruit par la jouissance et la continuation des relations pendant la grossesse et l’allaitement, c’est dépasser l’animal dans l’animalité.
Ceci pour le tertio, et, quarto, je pense que dans notre société, où les enfants deviennent un empêchement à la jouissance, un accident malheureux ou une jouissance