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Je ne veux pas toujours gagner. Jouons encore une fois le tout.
— Allons !
Qui que l’on soit, on regrette tout de même cinquante roubles. Mais, maintenant, c’est Nekhlioudov qui dit :
— Jouons le tout.
Et cela va plus loin encore ; il perd déjà deux cent quatre-vingt roubles. Fedotka connaît son affaire. Un coup simple, il le perd ; mais quand on double, il gagne.
Le prince, qui s’était assis, voit que cela commence à devenir sérieux.
— Assez comme cela, dit-il.
Bah ! il double toujours l’enjeu.
Enfin, Nekhlioudov doit déjà plus de cinq cents roubles. Fedotka pose la queue et dit :
— N’est-ce pas assez ! Je suis trop fatigué.
Pourtant, il est capable de jouer jusqu’à l’aube, pourvu qu’il y ait de l’argent. C’est