Page:Tolstoï - Les Révolutionnaires.djvu/207

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fumé de l’amour, que le ciel clair de la liberté qui existent toujours et qui, heureusement, existeront toujours au-dessus de la prison étouffante des villes remplies de corps de garde et de casernes, de casernes et de corps de garde.

Où vont les hommes ?

Ressaisissez-vous !