Page:Tolstoï - Ma religion.djvu/8

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les paroles de Jésus ; je les compris, et la vie et la mort cessèrent de me sembler un mal ; au lieu du désespoir, je goûtai une joie et un bonheur que la mort ne pouvait détruire.

Quelqu’un pourra-t-il se scandaliser que je raconte comment cela m’arriva ?