ment qu’il est de mon devoir d’élever mes enfants d’une manière qui n’est pas généralement acceptée, que je ne dois pas les accoutumer à vivre dans leurs propres plaisirs ; mais, comme on vient de nous dire, les habituer aux privations, au travail, leur enseigner à aider leurs semblables, et, avant tout, à envisager tout homme comme un frère. Dans ce but, il est indispensable de renoncer aux distinctions et aux richesses. »
« Il est absurde de vouloir former les autres à cette nouvelle vie pendant que vous êtes vous-même plus loin de cette vie que n’importe lequel d’entre nous, » s’écria son épouse dépitée. « Vous, vous avez toujours vécu dans le luxe, depuis votre enfance jusqu’à ce jour. Pourquoi donc voulez-vous torturer votre femme et vos enfants ? Laissez-les vivre en paix, et choisir