Page:Tolstoï - Plaisirs cruels.djvu/111

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ne s’en prive pas : des hors-d’oeuvre— qui excitent l'appétit, des entremets, toute sorte de combinaisons de mets agréables et, pour le plaisir des yeux et des oreilles, des fleurs, des ornements, de la musique. Et, chose singulière, les hommes qui dinent ainsi tous les jours, devant le dîner desquels le festin de Balthazar, qui a provoqué une menace divine, n’est rien, sont naïvement persuadés qu’i|s peuvent, malgre cela, mener une vie morale.