Page:Tolstoï - Plaisirs cruels.djvu/128

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ua i n·•..\•sins cumcns î malgré le sang, le trouva, frappa, et la jolie L bete pleine de vie s’abattit en se débattent de la tete, des jambes, pendant qu’0n le saiguait 2 et qu’on lui enlevait la peau. -—— Ali! c’est le diable pour tomber; il n’est meme pas tombé ou il fallait, — groguait le boucher en coupant la peau de la tete. î Cinq minutes après, la tete noire était i rouge, sans peau, les yeux vitreux, ees 'memes yeux qui brîllaient d’une si hello cou- leur il y avait cinq minutesù peine. · Puis je mo rendis a l'endroit où on abat le petit bélail;e’était une très grande pièce avec le sol en asphalte et des tables avec dossiers à sur lesquelles on égorge les moutons et les É veaux. Le travail était achevé ici dans la h longue pièce tout imprégnée d’odeur de sang; I seuls, deux bouchers s’y trouvaient. L’un souftlait dans la jambe d’un mouton tué et _ frottait de sa main le ventre gonflé de Pani- mal; l’autre, un jeune gars en tablier macnlé