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Page:Tolstoï - Plaisirs cruels.djvu/166

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` usa rmistns CRUELS e des vice-présidents, des secrétaires, de se . réunir ou de parler dans telle ou telle ville. E

 De tout ce verbiage ecrit ou parlé doit sortir, î

d’apres eux, ce résultat que les gouverne- ments cesseront de recruter des soldats, base I de leur force, et, suivant leurs conseils, · liconcieront leurs armées, et resteront sans É défense non seulement devant leurs voisins, î mais aussi devant leurs propres sujets. C’est Q _ comme des brigands ayant garrotté des l hommes désarmés pour les dépouiller, qui ï se laisseraient toucher par des discours sur la souffrance que cause à leurs victimes la. corde qui les attache, et s’empresseraient de l la couper. » i Cependant il y a des gens qui croient à cela, qui s’occupent de congres de la paix, ' prononcent des discours, écrivent des livres : , les gouvernements, cela va sans dire, leur témoignent de la sympathie, et feignent de les encourager, de meme qiïils feîgnent de