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Page:Tolstoï - Plaisirs cruels.djvu/260

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l asse rnaxsms cnunns ` sais que e’est seulement dans les choses futiles qu’il est donne à l’homme de jouir des fruits de son travail, ou tout au moins d’en voir les résultats. Mais, quant a l’oeuvre de la verité divine qui est éternelle, l’homme ne peut meme pas en apercevoir les consé- quences, surtout dans la courte période de sa vie. Je sais tout cela et cependant je déses- père souvent, et c’ost pourquoi notre aren- · contre et ma presque certitude de trouver en vous l’homme qui marche sincèrement dans la meme voie et vers le même but que moi, sont pour moi une grande joie. Et maintenant je vais procéder avec ordre. Vos lettres à M"" m’ont beaucoup plu, surtout la dernière. Vos arguments _sont irré- futables, mais malheureusement ils n’existent pas pour lui, car je connais ses opinions depuis longtemps. Tout ce qu’il a dit, ou le voit dans la vie, dans les livres, et c’estl toujours la même chose.