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III


Si nous passons à la seconde partie du travail de Tolstoï, spécialement relative à notre alimentation, nous voyons que le grand psychologue russe envisage les mœurs des classes sociales élevées à doux points de vue assez différents.

Il trouve d’abord que notre alimentation nous préoccupe trop, et ensuite qu’elle est trop abondante. Sur les deux points il est évident, psychologiquement et physiologiquement, qu’il a tout à fait raison.

Que nous parlions trop souvent des dîners ; que nous avons faits et de ceux que nous devons faire, cela est bien clair. Mais, quoique cela soit bien sot, ce n’est peut-être pas un grand crime. C’est un défaut de bon goût, un