Page:Tolstoï - Plaisirs vicieux.djvu/240

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Je vous félicite d’avoir traduit l’étude si importante du comte L. Tolstoï sur le Vin et le Tabac, et je vous remercie de m’avoir envoyé cette traduction que j’ai eu grand à plaisir à lire. Un travail de ce genre, signé d’un nom aussi illustre, mérite d’être placé à côté du curieux Traité des excitants modernes de Balzac. Vous connaissez certainement ces pages du maître de la Comédie humaine.

Il m’est assez difficile de vous répondre en ce qui touche à des observations personnelles. Je ne bois pas de spiritueux et je n’ai jamais fumé. Je n’ai pas besoin d’adjuvants à mon travail. Je crois bien que la fumée de la nicotine et les fumées de l’alcool sont, comme le