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ZOLA, DUMAS, MAUPASSANT

tière pour les deux vauriens, et cela au point qu’il semble non seulement négliger mais simplement ne pas voir ce qu’ont dû sentir, ce qu’ont dû éprouver la mère et la fille séduites, le père et le jeune homme, sans doute le fiancé de la jeune fille. Il s’ensuit que non seulement nous nous trouvons en présence d’une description révoltante d’un crime répugnant présenté sous forme de farce, mais encore l’incident lui-même est faussement raconté, parce que le récit ne se rapporte qu’au côté le plus insignifiant du sujet : le plaisir goûté par les vauriens.