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ZOLA, DUMAS, MAUPASSANT

rendue, sur laquelle l’auteur aurait pu terminer son récit au lieu de le continuer sans aucune nécessité pour l’action ni pour l’idée générale, en faisant pénétrer de nuit chez la jeune fille le monsieur en question qui la viole. Dans la première partie du roman, l’auteur est évidemment du côté de la jeune fille ; mais, dans la seconde, il a subitement passé du côté du débauché. Et c’est ainsi qu’une impression détruit l’autre, et tout le roman s’écroule ; il s’émiette comme du pain mal fait.