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ZOLA, DUMAS, MAUPASSANT

de la jeunesse, les tailleurs et les coiffeurs parisiens ne réparent qu’aujourd’hui l’erreur commise par le christianisme et redonnent à la beauté sa véritable et haute signification.)

Pour qu’il n’y ait pas de doute sur la façon d’entendre la beauté, le même célèbre écrivain, historien et savant, a écrit un drame, l’Abbesse de Jouarre, dans lequel il a montré qu’avoir commerce avec une femme c’est être au service de la beauté, c’est-à-dire que c’est un acte bon et noble.

Ce drame frappe par le manque absolu de talent chez son auteur et surtout par la grossièreté des propos que Darcy tient à l’abbesse. Dès les premiers mots on s’aperçoit de quel amour cet homme parle à une jeune fille, représentée comme innocente