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Page:Tonnellé - Trois mois dans les Pyrénées et dans le midi en 1858.djvu/115

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toujours de la peine, et laissent toujours un vide. Mes courses vont être solitaires. À sept heures, adieux et départ… — Rentré à onze heures ; de gros nuages passent sur la lune, et les chevaux qui devaient m’attendre pour le Monné, en cas de beau temps, sont encore absents.




Luchon, samedi, 31 juillet.


ASCENSION DE LA FORCANADE.


Vu en me réveillant un temps inattendu, splendide, et qui me fait bien regretter la course du Manne. À quoi vais-je employer cette belle journée ? — À huit heures, rencontré les guides Ribis et Bedonnet Natte, et, après quelques renseignements, je me décide à partir après déjeuner pour gravir ma Forcanade, et y joindre la course de Viella et de