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éclairé à temps. M. Prévère m’a causé[1] ensuite. C’était pour dire que, tout de même, vous devez rester là-bas pour y apprendre un état. Il vous écrira, et Louise aussi, après qu’elle aura reçu de vos nouvelles.

« En foi de quoi, Charles, je vous envoie ma montre en présent, aussi bien comme je la tiens de mon père. Jean Renaud l’a nettoyée et recommande que la nuit vous ne la teniez pas de plat, mais au clou, par rapport au mouvement.

« Adieu, Charles. Faites-vous sage et appliqué.

« Reybaz. »



FIN DU PRESBYTÈRE.
  1. M’a causé pour m’a parlé est une locution familière dans le canton de Genève.