quelques-unes si tu lis attentivement Maurice Donnay ou Pierre Veber. C'est leur grâce que je te souhaite; adieu.
«Floride.»
«P.-S.--Ne cherche pas d'obscénités dans ma lettre: il y en a.»
-o0o-
Le comte de San Buscar au baron de Mariolles.
«Mon cher ami,
«Je veux vous donner encore ce nom-là malgré les choses qui se sont passées entre nous; et vous comprendrez tout de suite pourquoi je ne cherche pas à en tirer aucune vengeance quand je vous aurais annoncé que je me sépare d'avec ma femme. Qu'est-ce que vous dites, mon cher? Ça vaut bien la peine de risquer de vous tuer, ou d'être moi-même, pour une personne que je ne regarde plus. Alors, n'attendez pas mes amis, je vous prie: ils ne viendront pas. Vous connaissez assez mon courage par vous-même,