gueur de la Vilaine, dans sa traverse de Rennes, les couches suivantes, en procédant de la surface du sol vers le fond de la rivière :
1o Une première de remblais on de terre végétale, TÙiant de 1 mètre 50 centimètres à 2 on 3 ;
2° Use seconde d’argile, de 1 à 2 mètres de.paissaiice ;
3° Une trMùème de tourbe de 30 à âO centimètres d’épaisseur, dans laquelle oo troDva dés glands, des noisettes, des feoilles (I) ;
4° Ao-deesoos de la précédeote, la couebe des sables gris, plus ou moins noiritres par enikoits, ayant de 45 & 80 cenlimëtres de hauteur, et mâlée, plus profbndéqient, ï ceux quarzeux, ^ossiers, et-plus durs qui rcaferouùeDJt coimmunément les pièces romaines, dans laquelle on ne rencontra aucune de ces dernières, dans toute cette partie deà travaux ;
5° Enfin, des schistes argileux, tendres, fissiles, plongeant Leurs tranches obliques dans le. lit de la rivière, dont ils avaient dà constituer primttiT «nent le fond.
Dans tente cette conpe, comprenant à pen^ près* une hauteur de 8 à 9 mètres, dirais la crête des qnais jusqu’à la couche schisteuse, ij ne fut trouvé aucune pièce française on objets d’art.’ Vers les points les plus rapprochés de rbdpital Saint- Yves, les lAtucbes se modifiaient. Ainsi, la’ masse de remblais y étaU très-épaisse, puisqu’elle s’étendait d^ûs la surface du sol presque jusqu’aux sables gris, dont eHe n’était séparée que par.uae tranche trës-mince de sable jaunfttre. On ne rencontra pas nue seule monnaie dans ces dwaiers, mais des os d’animaux de boucherie qui y, étaient çb et là disséminés.
ONZIfiKI roviiLi.
(Fig. I de la pl. VI.) Lors de la démolition dn Pont-Neuf, on découvrit dans les couches supérieures dés terrains envjronnans, et qudquefois dans la maçonnerie’ elle-m&me, des blancs, des denï«^, des jetons des xni* et XTiii* siècles et quelques débris insignifians.
(l) C’ëtaîl dam nDeconcheipalogue, mais TiriableenepaÎMear, qu’on avait rencontre ) au-deMus de l’andeo pont Sainl-GernaÎD, d« même qa’oi imoBt de celui de Berlin, iMénomet tronn d’arbrea prëcàleatmeal d«I^*.