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VIII
Le lendemain matin, quand je descendis pour le thé, ma mère me gronda — moins cependant que je m’y attendais, — et me força de lui raconter de quelle façon j’avais passé la soirée de la veille. Je lui répondis en quelques mots, en omettant nombre de détails et en tâchant de donner à mon récit la tournure la plus insignifiante.
— N’importe, ce ne sont pas des gens comme il faut, remarqua ma mère, et tu ne dois pas prendre l’habitude d’aller chez eux.