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Page:Tourneux - Bibliographie de l’histoire de Paris pendant la Révolution française, t. 1, 1890.djvu/589

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AiiiiiiKiNs i:r c.oiiiiHr.iKiNs Alii>i ijuc veut lieu im- le l’aire ob-oiver M. lîengesco, ce qualiain est une parujilii’ase de ces vers de 1 cpilre inlilulée : a I/auleur arrivant dans sa terre près du lac de Genève», mai 17^5 (é,l. Moland. t. X, p. 362- 3C6) : I.iberlé: Tout à côté du irùne à SlOL-khoIni on l’a mise: Vn si beau voisinage esl souvent danpcrens. I>réside k loul État où la loi l’aTilori^s El resles-y. si In le peux Histoire des Assemblées. •}30(.W/’/.).— I.cs Cniilempor.iiiK lic ITSll (■[ 1790. p:ir Lixhkt (17’.»ii). Le livre a élo remis on eirciilalinn l’année suivante sons ce litre : .’iiOl. — XotivcauDictioiiiiain^ des ili’pud’S à l’Assemblée nationale et de tntts les hommes qui se sont illustrés depuis le coiii- meneement de la Révolution par leiirsvei-tiis, leurs talents et leurs erreufs, avec un tnhieau succinct dos opérations les plus i-cniai- (lual)les de cette législature et des événe- ments qui se sont multipliés depuis l’ou- verture des États-Généraux dans les quatre- vingt-trois départements. Paris, Volhind, 1791, 3 vol. iii-8». Malgré celte pompeuse annonce les liiros seuls étaient renouvelés.

(/l(Z’i.). — Assemblée nationale de lu 

France nu Collection cumplélo. etc. (I79-’). L’épigraplio : Post tenebras lii.i a été omise, ainsi que la liste suivanle îles [ku-- traits joints aux volumes. Ces portr.iits gravés par VÉRITÉ et Ll’TÈNE, et la jjluparl donnes connue « dessinés d’après nature », .sont accompagnés chacun d’un quatrain. Tome I, [.Manque à la B. N.i Tome II. J,-f. Maurv. Tome III. Bailly. Tome IV. [Pas do pnrirailj. Tome V. Péiion de Villeneuve. Tome VI. [Manque à la lî. N . Tome VII. Le Chapelier. Tome Vlll. Bouche. Tome IX. tZazalès. Tome X. MoDtesquiou-Fezen-;ae. Tome XI. Briois de Beanmez- Tome XII. Clermon’.-Tonnerre. Tome XIII. Cazalès. Tome XIV. Camus. Tome XV. Sieyès. Tome .VI. D’. dré. • Tome XVII. r.lormonl-Tonnerre. ’;■>*)■>. — Histoire abrégée des travau.K di’ r.sseniblée nationale constituante. Recueil des décrets de lAssemblée nationale consti- tuante, par ordre de matières. Institution au droit public et privé de la France, .an- nonce et prospectus, par .M. C.uiis, garde des Archives nationales. Imp. Nalioualc, 1791, in-8°, H p. Los suuscri|p|ions étaient reçues chez lîaudouin l’I Le Boucher. Ile celle collection, qui devyil éiro publiée simnltanémenl , en format iu-8" et in-3;’, ont p.iru seulement le Code jiiriiciaire (1702. iu-S»), le Code des pensions (1792, in-S» et in-12) et le Code criminel, troisième partie du Code judi- ciaire (1792, in-S"). 1/lIisloire des Iraraux’ de. l’Assemblée consliUianle est restée à l’état de projet, et ce n’est point Camus, mais Bernardi qui a mis au jour une Instilution au droit civil et criminel, ou Tableau raisonné de l’état actuel de la jurisprudence française (Jansen. an VIlI in-S-l. j203. — Œuvres complètes de Lamartine, publiées et inédites. Critique de 1" « Histoire des Girondins », par l’auteur des " Giron- dins >> lui-même. Tome XV. Paris, chez rautciir. i^i, rue de In nile-rÉvéque, 1861, iii-S", 2 fi’, et 466 p. Le premier fuu.x-lilre porte : Œuvj’es com- plètes de L.MAHTINE. Tome XV, et le second fau-vlitre (avant le litre de départ) : Critique de r « Histoire des Girondins », par l’auteur des « Giront/iïis » (îii-mémc. à viniit ans de distance {inédite). Cel appendice d’un livre célèbre est peu connu, parce qu’il n’a point été publié séparément et c|ue son sujet intéressait un public fort restreint. Ému des critiques de Granier de Cassagiiac dans son Hisloirc des Girondins et des massa- cres de sepiemijre (voy. ci-dessus n» 516), La- martine entendit prouver que son travail n’était point onivre d’imagination. C’est ainsi qu’il al- lègue, â propos du fameux banquet des Girondins, le témoignage oral de l’abbé Lambert, mort en 1847, curé de Bessancourt (Scinc-et-Oise), té- moignage recueilli en présence d’un ami (proba- blement M. Henri de Lacrolellc) : c’est ainsi encore qu’il assure ne s’être point porté garant de l’authenlicilé des inscriptions recueillies dans les chambres du couvent des Carmes (Cf. Ale-. Sorel, n» 3506 ci-dessus). Il raconte ensuite ses démarches auprès des principaux survivants qu’il avait consultés : la veuve de Ph. Le Bas, la se- conde femme de D.inton (devenue elle-même veuve du baron Cl. -Fr. -Etienne Dupin, de Metz), Kousselin (Saint-Albin) et le D’ Souberbielle : puis, après de longues citations de son propre livre, dont il fait plus volontiers l’apologie que la critique, il en condamne formellement la con-