LE PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE DU BRÉSIL, par :
M. João Pandià Calogeras, député, ancien ministre des Finances ;
M. Raul Fernandes, député ;
M. Rodrigo Octavio de L. Menezes, professeur de droit international à Rio-de-Janeiro ;
LE PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE CHINOISE[1] par :
M. Lou Tseng-Tsiang, ministre des affaires étrangères ;
M. Chengting Thomas Wang, ancien ministre de l’Agriculture et du Commerce ;
LE PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE CUBAINE, par :
M. Antonio Sànchez de Bustamante, doyen de la Faculté de Droit de l’Université de La Havane, président de la Société cubaine de Droit international ;
LE PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE DE L’ÉQUATEUR, par :
M. Enrique Dorn y de Alsua, envoyé extraordinaire et ministre plénipotentiaire de l’Équateur à Paris ;
SA MAJESTÉ LE ROI DES HELLÈNES, par :
M. Eleftherios K. Venisélos, président du Conseil des ministres ;
M. Nicolas Politis, ministre des Affaires étrangères ;
LE PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE DE GUATÉMALA, par :
M. Joaquin Méndez, ancien ministre d’État aux Travaux publics et à l’instruction publique, envoyé extraordinaire et ministre plénipotentiaire du Guatémala à Washington, envoyé extraordinaire et ministre plénipotentiaire en mission spéciale à Paris ;
LE PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE D’HAÏTI, par :
M. Tertullien Guilbaud, envoyé extraordinaire et ministre plénipotentiaire d’Haïti à Pâris ;
SA MAJESTÉ LE ROI DU HEDJAZ, par :
M. Rustem Haïdar ;
M. Abdul Hadi Aouni ;
- ↑ La Délégation chinoise a refusé de signer en raison des articles 156, 157 et 158, qui transfèrent au Japon les droits allemands dans la province du Chantoung — Cf. sa déclaration dans le Temps (30 juin 1918).